Alors qu’il s’apprête à sortir un livre sur sa carrière, L.A Reid, l’ancien président du label Def Jam, l’actuel président sur label Sony et l’homme derrière les carrières de TLC, Usher, Toni Braxton Boyz II Men, Mariah Carey ou encore Rihanna explique dans son livre qu’il n’avait pas misé sur la chanteuse barbadienne au début et ne pensait pas qu’elle serait la grosse star qu’elle est aujourd’hui. C’est pourtant bien lui qui a tenu et suivi tous ses albums jusqu’en 2010.

Dans le livre, il déclare ” Quand j’ai pensé mes yeux sur elle dans l’allée, je ne savais pas qui elle était. Je ne savais pas si c’était une chanteuse ou quoique ce soit, juste une jolie fille qui se tenait devant mon bureau”.

Rihanna a ensuite passé une audition et a chanté du Whitney Houston, du Beyoncé et  son single “Pon de Replay“. Ils ont décidé de la signer, mais sans grande conviction. Ils avaient tout misé sur une autre artiste : Tearra Mari.

Il explique : “ Au label, nous pensions que Tearra Mari serait la grosse Star. Nous avions passé plus de temps sur elle, nous avions fait plus de travail sur elle et nous lui avions apporté plus d’attention. Une erreur pour moi, cependant après un showcase, Beyonce est venue et m’a dit ” cette fille rihanna est une bête”.

Ce n’est pas un secret en réalité. C’est la très longue première partie de mon dossier sur elle ( qui sera mis en ligne quand elle daignera sortir Anti) donc je ne vais pas tout dévoiler, mais tout le monde sait qu’elle n’a pas été signé pour faire une carrière sur le long terme. L’argent, les fonds, les yeux et la vision de Jay-z et de L.A Reid étaient focalisés sur Teairra Mari qui avait tout. Elle chantait très bien, assurait sur scène et était jolie. Ce n’est pas seulement Beyonce, mais un concours de circonstances que je développerai très prochainement qui a fait en sorte qu’elle puisse prendre de l’ampleur et devienne la superstar qu’elle est.

Le livre de L.A Reid est en tout cas à lire, il s’intitulera “Sing to Me: My Story of Making Music” et on va peut-être enfin savoir comment on fait pour signer des groupes aussi gros que TLC, Boys II Men pour les virer ensuite, ainsi que sa version des faits sur l’escroquerie de Toni Braxton.